Gambang kromong : musique citadine de Djakarta, influencée par le jazz et le gamelan, il est utilisé dans les mariages et dans un théâtre nommé komedi stanbul ou lenong. Elles accompagnent souvent les grandes réunions (meshrep) populaires ou les cérémonies de mariages. Elles entretiennent un sentiment de concordance et de fraternité. Enfin, les musiques sont chargées de la présentation au drapeau, des parades, des convois dignitaires, défilés, entrées d’honneur ainsi que des messes militaires et parfois, elles ont pour objet de distraire les troupes et sont très appréciées des citadins (relation armée nation). Elles permettent aux compositeurs tels que Gossec, Jadin, Méhul, Catel, Devienne et Grétry d’écrire des œuvres de circonstance, des symphonies, des hymnes. Selon Chklovski, l'art aurait pour but de rendre cette signification aux choses auxquelles on se serait trop habitué. Un cortège s’étale de la Madeleine à la Bastille pour inaugurer la Colonne de juillet tandis que 200 musiciens égrènent la Marche funèbre, 1er mouvement de cette symphonie, sur tout le trajet. Chaque année, l'Allemagne accueille traditionnellement trois grands festivals internationaux de musique militaire auxquels participent, outre les corps de musique de la Bundeswehr, un grand nombre de musiciens militaires étrangers.Outre l’apparition du clairon, l’événement le plus important de cette période est la réforme d’Adolphe Sax. En effet, Sax invente une clarinette basse, puis la famille des saxophones et celle des saxhorns, il instaure ensuite l’usage des clés et des pistons. Cette réforme entraîne la réorganisation des musiques de la marine à Brest et à Toulon qui deviennent les plus anciens orchestres français, après celui de l'Opéra. Carafa prend la direction du Gymnase en 1838 et va devenir un ardent opposant au projet de réforme de Sax quand celui-ci proposera ses nouveaux instruments. Après le test de la Musique des Guides en 1854, le système Sax est définitivement généralisé à tous les orchestres militaires en 1855. En 1854, l’armée française comprend 100 régiments d’infanterie, 54 de cavalerie, 16 d’artillerie, tous dotés de leur musique régimentaire, sans compter les unités d’Afrique. Les campagnes militaires (Crimée, Italie, Mexique) coûtent cher et les restrictions budgétaires amènent une diminution des effectifs des orchestres en 1860 et la suppression des musiques de cavalerie et de la musique des Guides en 1867, après le premier concours international des musiques militaires organisé à Paris en 1867. Il avait été gagné par la musique de la Garde de Paris conjointement avec la musique de Prusse et celle d'Autriche.On écrit les premiers pas redoublés à 120 pas par minute. Des personnalités, parfois appelés ? minimalistes mystiques ?, tels Arvo Pärt, apparus à la fin des années 1970, ne sont par contre pas les héritiers directs des répétitifs américains mais sont aussi inclus sous la bannière du post-minimalisme, ou plus généralement du postmodernisme. Puis l’infanterie est dotée par la loi du 13 mars 1875 de 144 régiments de ligne, 30 bataillons de chasseurs, 4 régiments de zouaves, 4 régiments de tirailleurs, 1 régiment de légion étrangère et 3 bataillons d’Afrique. Le règlement organise aussi les musiques avec les dispositions suivantes pour les régiments : 1 chef de musique, 1 sous-chef et 38 musiciens, sauf pour les tirailleurs : 1 chef de fanfare et 20 clairons. Grâce à la très bonne formation des musiciens, les corps de musique allemands sont d'un très haut niveau. En outre, elle fait également réarranger d'anciennes marches militaires inconnues et les fait enregistrer par des corps de musique. La Armeemarschsammlung (de) (en français : ? Collection de marches de l'armée prussienne ?) sert d'ouvrage de base pour répertorier toutes les marches militaires allemandes, qui a été complétée ou élargie plus tard par la Heeresmusiksammlung.1952 d'un bagad celtique qui s'appellera le bagad de Lann-Bihoué, du nom de la base de l'aéronavale où il a été créé et où il est affecté. Le répertoire (radif) est divisé en douze dastgahs, avec plus de deux cents courtes mélodies (gusheh), chaque gusheh et chaque dastgah ayant un nom. L'adoption de la Marseillaise comme hymne national coïncide avec le transfert à Longchamp de la revue militaire qui s'ouvre avec la remise des drapeaux en 1880. La Belle Époque avec ses kiosques à musique utilisés par les orchestres militaires aussi bien que leurs équivalents civils, souvent dirigés et composés d'anciens militaires, organise un véritable maillage du territoire qui diffuse un répertoire musical fait d'adaptations des grands airs d'opéra, d'opérettes, du café-concert ou d'autres morceaux à la mode. Ces orchestres donnent trois concerts par semaine dans les kiosques à musique construits par les municipalités, offrant des concerts gratuits à la population qui devait jusque-là payer pour écouter de la musique. L'insigne se composait de cinq cordons plats, les trois du milieu étant des cordons tressés (cordon central bleu, cordons de bordure argentés), les deux cordons de bordure étant des bordures. https://dun-lark-fz4w3t.mystrikingly.com/blog/qu-est-ce-vraiment-que-le-minimalisme-1b8499da-6075-4d69-a0f2-ac2126c12071


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Last-modified: 2023-09-13 (水) 18:55:27 (236d)